Cartes construites à partir des données de la Métropole et de données récoltées par l’équipe

3.B.06
Longeville-lès-Metz - La magistrale pâturale

Lessy - Du couvent indécis au col de Lessy
Carte du secteur de Longeville-lès-Metz

Pour jeter un œil au diagnostic du secteur c’est ici.

Pour consulter ses objectifs de qualité paysagère c’est .

Lieux clés sur le secteur :

Les terrains de basket, connus dans toute l’agglomération.

Le stationnement près du restaurant.

Les grandes prairies entre la Moselle et la rue Promenade du Site.

Le chemin en bord de Moselle avec vue sur le Mont Saint-Quentin.

Le passage sous le pont de Verdun.

Les espaces de pique-nique en bord de Moselle.

Les abords du golf.

Principes d’aménagement et préconisations :

Étapes et processus :

1 / Prendre le temps de la réflexion, faire participer :

À partir des préconisations du plan paysage, organiser une rencontre avec les acteurs et habitants concernés par le site pour un temps de travail autour des intentions de la commune. Être accompagné d’un facilitateur pour garantir la bonne transmission du message et la qualité de la contribution des participants ;

Prendre un temps spécifique pour réfléchir et exposer les besoins de chacun avec la commune, les partenaires privés ayant une activité sur le site ; inscrire cette intention dans le cadre global de la Métropole en termes de mobilité fluviale, d’équipements éventuels pour les clubs des régates messines par exemple…

2 / Mener une étude de faisabilité

À partir des premières intentions, et du programme établi, commander une étude de faisabilité à une équipe de maîtrise d’œuvre :
- définition des aménagements par secteur
- pré-chiffrage

3 / Lancer une mission de MOE

Concevoir et réaliser l’aménagement des zones prioritaires du parc en utilisant des matériaux durables ;

Penser les aménagements simplement dans un esprit coloré et ludique ;

Intégrer un groupe d’usagers et d’acteurs concernés par le projet (associations sportives, écoles, associations de quartier) pour l’organisation de chantiers participatifs (peintures sur revêtements, installation de mobiliers, inaugurations d’agrès sportifs…).

4- Animer par de l’évènementiel

Mettre en place un rendez-vous annuel ou pluri-annuel, sportif, ludique ou culturel dans le parc et réinvestir le dessous du pont comme un lieu de rencontre, une porte sur la ville de Metz (marché nocturne, brocante, départ de course, cours de sports divers, etc.).

QUELQUES IMAGES INSPIRANTES D’ICI ET D’AILLEURS

Références de parc sportif et ludique :

Pumppark de village, Saint Côme d’Olt (Aveyron)_Pumppark de village, Saint Côme d’Olt (Aveyron) Intégration paysagère d’un équipement moderne et « urbain » dans un village classé « un des plus beaux villages de France»
Structure multiforme qui invite à de spostures et mouvements divers
Diversité des usages et harmonie des espaces
Quais de Seine à Rouen (crédit : Monono)
Un terrain de sport ouvert sur l’espace public
Des agrès et un revêtement au sol naturel et perméable en copeaux de bois
Jeux de casse-cou _ Parc des Oblates à Nantes (crédit : Omnibus)
Des agrès colorés qui se mêlent à la végétation

Références d’aménagements sous les ponts :

Réappropriation des dessous de ponts, Mobiliers multi-postures et ambiances colorées, Madrid, Espagne
Réappropriation des dessous de ponts, Cinéma en plein air
Réappropriation des dessous de ponts par le sport, Melbourne, Australie
Réappropriation des dessous de ponts, des terrains de football, Quartier de Castanera et Lacarra, Buenos Aires
Appropriation des dessous de ponts, Skatepark, Stockholm
Réappropriation des dessous de ponts, brocante et vente de livres, Pont de Waterloo, Londres

Références de lisières pour soigner les pourtours et entrées dans le parc / limites :

Réalisation d’un micro-relief/talus planté afin d’améliorer la transition - sonore et spatiale - entre la rue et le parc. Parc de la Seille Jean-Marie Pelt, Metz. (crédit : Omnibus)
Des limites fonctionnelles, qui s’inscrivent dans les paysages où elles sont implantées, sont basées sur l’utilisation de ressources disponibles sur place et utilisent des techniques et savoir-faire typiques du «bon sens paysan» - Rangement de produits d’abattage, (crédit : Omnibus)
Des limites fonctionnelles, qui s’inscrivent dans les paysages où elles sont implantées, sont basées sur l’utilisation de ressources disponibles sur place et utilisent des techniques et savoir-faire typiques du «bon sens paysan» - Ramée de branches (crédit : Omnibus)
Des limites fonctionnelles, qui s’inscrivent dans les paysages où elles sont implantées, sont basées sur l’utilisation de ressources disponibles sur place et utilisent des techniques et savoir-faire typiques du «bon sens paysan» - Ramée de branches (crédit : Omnibus)
Des limites fonctionnelles, qui s’inscrivent dans les paysages où elles sont implantées, sont basées sur l’utilisation de ressources disponibles sur place et utilisent des techniques et savoir-faire typiques du «bon sens paysan» - Ramée de branches (crédit : Omnibus)

Références de gestion alternative :

La Sapinière, une friche à Grigny. Une gestion des lieux évolutive par et pour les habitants 2010-14 Suivi de la convention de gestion de l’espace public de la Sapinière Grigny (Essonne) Communauté d’Agglomérations des Lacs de l’Essonne (CALE) Clément Berthollet, Alexandre Malfait, Marjorie Masseglia, Jeanne Roche, et François Roumet, professeur encadrant Après avoir participé, en première année à l’Ecole Nationale Supérieure de Versailles, à l’atelier « Conduire le vivant, le droit à l’erreur », dont l’objectif est la transformation d’une friche en un espace public accueillant, quatre camarades de classe, dont Jeanne Roche, encadrés par François Roumet, décident de suivre l’évolution de leur intervention. La démarche consiste alors à mettre en œuvre un projet de paysage au travers d’une gestion collective, créative, d’une pratique simple et économe du jardinage sous la forme d’aménagements réversibles (jardinage collectif, plessage de haies, structures et mobiliers en bois, définition par fauches évolutives des différents espaces …), avec les ressources humaines et matérielles en place. L’objectif étant de tendre vers une autogestion évolutive du lieu par et pour les habitants. Et ce, par le biais de chantiers ouverts et de rencontres in situ. L’association Clinamen regroupant des bergers urbains, était partenaire de l’opération. (crédit : Omnibus)
La Sapinière, une friche à Grigny. Une gestion des lieux évolutive par et pour les habitants 2010-14 Suivi de la convention de gestion de l’espace public de la Sapinière Grigny (Essonne) Communauté d’Agglomérations des Lacs de l’Essonne (CALE) Clément Berthollet, Alexandre Malfait, Marjorie Masseglia, Jeanne Roche, et François Roumet, professeur encadrant Après avoir participé, en première année à l’Ecole Nationale Supérieure de Versailles, à l’atelier « Conduire le vivant, le droit à l’erreur », dont l’objectif est la transformation d’une friche en un espace public accueillant, quatre camarades de classe, dont Jeanne Roche, encadrés par François Roumet, décident de suivre l’évolution de leur intervention. La démarche consiste alors à mettre en œuvre un projet de paysage au travers d’une gestion collective, créative, d’une pratique simple et économe du jardinage sous la forme d’aménagements réversibles (jardinage collectif, plessage de haies, structures et mobiliers en bois, définition par fauches évolutives des différents espaces …), avec les ressources humaines et matérielles en place. L’objectif étant de tendre vers une autogestion évolutive du lieu par et pour les habitants. Et ce, par le biais de chantiers ouverts et de rencontres in situ. L’association Clinamen regroupant des bergers urbains, était partenaire de l’opération. (crédit : Omnibus)
La Sapinière, une friche à Grigny Une gestion des lieux évolutive par et pour les habitants 2010-14 Suivi de la convention de gestion de l’espace public de la Sapinière Grigny (Essonne) Communauté d’Agglomérations des Lacs de l’Essonne (CALE) Clément Berthollet, Alexandre Malfait, Marjorie Masseglia, Jeanne Roche, et François Roumet, professeur encadrant Après avoir participé, en première année à l’Ecole Nationale Supérieure de Versailles, à l’atelier « Conduire le vivant, le droit à l’erreur », dont l’objectif est la transformation d’une friche en un espace public accueillant, quatre camarades de classe, dont Jeanne Roche, encadrés par François Roumet, décident de suivre l’évolution de leur intervention. La démarche consiste alors à mettre en œuvre un projet de paysage au travers d’une gestion collective, créative, d’une pratique simple et économe du jardinage sous la forme d’aménagements réversibles (jardinage collectif, plessage de haies, structures et mobiliers en bois, définition par fauches évolutives des différents espaces …), avec les ressources humaines et matérielles en place. L’objectif étant de tendre vers une autogestion évolutive du lieu par et pour les habitants. Et ce, par le biais de chantiers ouverts et de rencontres in situ. L’association Clinamen regroupant des bergers urbains, était partenaire de l’opération. (crédit : Omnibus)