Cartes construites à partir des données de la Métropole et de données récoltées par l’équipe

3.A.04
En transition écologique

En transition énergétique

La carte interactive ci-contre synthétise les préconisations pour aller vers une transition écologique à l’échelle des côtes. N’hésitez pas à zoomer et dé-zoomer afin de vous promener et vous situer précisément dans le territoire des côtes.

Transition écologique

Sensibiliser à la pollution lumineuse et ses impacts sur la biodiversité / trame noire

1 / CONSTITUER UN GROUPE DE TRAVAIL PILOTÉ PAR LA MÉTROPOLE

> Rassembler un groupe d’acteurs diversifiés : expert·es naturalistes, paysagistes, urbanistes, ABF, élu·es, habitant·es, association comme CPEPESC Lorraine, pour travailler sur un plan d’amélioration de l’éclairage public qui vise à réduire l’impact sur la biodiversité et sur la consommation énergétique.

> Poursuivre activement le travail déjà initié par la Métropole dans le cadre de la Trame Noire.
> Quelques préconisations pour les communes qui n’ont pas encore amorcé de travail sur ce thème :

2 / ORGANISER DES RENCONTRES-DÉBATS POUR SENSIBILISER ET INFORMER

Prendre soin des milieux aquatiques

1 / ORGANISER DES FORMATIONS AUPRÈS DES ÉLU.ES SUR LES MILIEUX AQUATIQUES

À destination de tous et toutes les élu·es de la Métropole, avec des visites de sites et de rencontres avec celles et ceux qui ont déjà mis en place des démarches ou aménagements autour des enjeux aquatiques.

2 / REGROUPER DES MISSIONS ENTRE COMMUNES

Confier, dans le cadre d’une même mission, à une équipe pluridisciplinaire (paysagistes concepteurs, écologues, naturalistes) la conception et/ou la réalisation d’aménagements similaires ou cohérents : pontons, berges, rives, entretien, création de mares, etc.

Pour cela, à partir des éléments déjà mis en évidence sur la carte ci-contre :

Veiller au maintien et au développement de la diversité des milieux

1 / POURSUIVRE ET DÉVELOPPER LES ACTIONS DE PÂTURAGE EN COURS

La Sapinière, une friche à Grigny. Une gestion des lieux évolutive par et pour les habitants 2010-14 Suivi de la convention de gestion de l’espace public de la Sapinière Grigny (Essonne) Communauté d’Agglomérations des Lacs de l’Essonne (CALE) Clément Berthollet, Alexandre Malfait, Marjorie Masseglia, Jeanne Roche, et François Roumet, professeur encadrant Après avoir participé, en première année à l’Ecole Nationale Supérieure de Versailles, à l’atelier « Conduire le vivant, le droit à l’erreur », dont l’objectif est la transformation d’une friche en un espace public accueillant, quatre camarades de classe, dont Jeanne Roche, encadrés par François Roumet, décident de suivre l’évolution de leur intervention. La démarche consiste alors à mettre en œuvre un projet de paysage au travers d’une gestion collective, créative, d’une pratique simple et économe du jardinage sous la forme d’aménagements réversibles (jardinage collectif, plessage de haies, structures et mobiliers en bois, définition par fauches évolutives des différents espaces …), avec les ressources humaines et matérielles en place. L’objectif étant de tendre vers une autogestion évolutive du lieu par et pour les habitants. Et ce, par le biais de chantiers ouverts et de rencontres in situ. L’association Clinamen regroupant des bergers urbains, était partenaire de l’opération. (crédit : Omnibus)
La Sapinière, une friche à Grigny. Une gestion des lieux évolutive par et pour les habitants 2010-14 Suivi de la convention de gestion de l’espace public de la Sapinière Grigny (Essonne) Communauté d’Agglomérations des Lacs de l’Essonne (CALE) Clément Berthollet, Alexandre Malfait, Marjorie Masseglia, Jeanne Roche, et François Roumet, professeur encadrant Après avoir participé, en première année à l’Ecole Nationale Supérieure de Versailles, à l’atelier « Conduire le vivant, le droit à l’erreur », dont l’objectif est la transformation d’une friche en un espace public accueillant, quatre camarades de classe, dont Jeanne Roche, encadrés par François Roumet, décident de suivre l’évolution de leur intervention. La démarche consiste alors à mettre en œuvre un projet de paysage au travers d’une gestion collective, créative, d’une pratique simple et économe du jardinage sous la forme d’aménagements réversibles (jardinage collectif, plessage de haies, structures et mobiliers en bois, définition par fauches évolutives des différents espaces …), avec les ressources humaines et matérielles en place. L’objectif étant de tendre vers une autogestion évolutive du lieu par et pour les habitants. Et ce, par le biais de chantiers ouverts et de rencontres in situ. L’association Clinamen regroupant des bergers urbains, était partenaire de l’opération. (crédit : Omnibus)
La Sapinière, une friche à Grigny Une gestion des lieux évolutive par et pour les habitants 2010-14 Suivi de la convention de gestion de l’espace public de la Sapinière Grigny (Essonne) Communauté d’Agglomérations des Lacs de l’Essonne (CALE) Clément Berthollet, Alexandre Malfait, Marjorie Masseglia, Jeanne Roche, et François Roumet, professeur encadrant Après avoir participé, en première année à l’Ecole Nationale Supérieure de Versailles, à l’atelier « Conduire le vivant, le droit à l’erreur », dont l’objectif est la transformation d’une friche en un espace public accueillant, quatre camarades de classe, dont Jeanne Roche, encadrés par François Roumet, décident de suivre l’évolution de leur intervention. La démarche consiste alors à mettre en œuvre un projet de paysage au travers d’une gestion collective, créative, d’une pratique simple et économe du jardinage sous la forme d’aménagements réversibles (jardinage collectif, plessage de haies, structures et mobiliers en bois, définition par fauches évolutives des différents espaces …), avec les ressources humaines et matérielles en place. L’objectif étant de tendre vers une autogestion évolutive du lieu par et pour les habitants. Et ce, par le biais de chantiers ouverts et de rencontres in situ. L’association Clinamen regroupant des bergers urbains, était partenaire de l’opération. (crédit : Omnibus)

2 / MOBILISER LE FONCIER ET FACILITER LE TRAVAIL DES EXPLOITANTS

Cette démarche est ambitieuse et doit être menée en bonne connaissance des dynamiques naturelles et des dynamiques d’acteurs existantes. Le juste équilibre entre une réouverture pertinente des milieux, la capacité des acteurs à les maintenir ouverts, et les évolutions naturelles des milieux, doit être intégré et respecté.
La mobilisation du foncier pour le développement de la viticulture, arboriculture, élevage, etc. sur les Côtes, peut se faire en priorité au sein des parcelles AOC pour la viticulture. L’objectif vise à lancer une dynamique locale de réinvestissement des coteaux, de diversification des productions et de circuits-courts qui soit portée par les acteurs eux-même, accompagnée par les collectivités.

3 / JARDINER LES CÔTES POUR FAÇONNER ET PRÉSERVER LA MOSAÏQUE DES MILIEUX

Ferme des Ruelles à Tilly : un verger en argoforesterie, maraichage et céréales (crédit : https://www.fermedesruelles.com/)
Prairie en gestion différenciée

4/ INVITER À LA CONNAISSANCE ET À L’ÉCOUTE DES MILIEUX

Des cabanes confectionnées avec une certaine économie de moyens et divers matériaux
Parc EANA, Gruchet-le-Valasse (crédits Omnibus)

Aller vers un territoire perméable et offrir des îlots de fraicheur

1 / IDENTIFIER À L’ÉCHELLE DES TREIZE COMMUNES LES ESPACES À DÉSIMPERMÉABILISER :

Faire appel à des équipes de maîtrise d’œuvre compétentes sur la gestion de l’eau zéro tuyau. Se rapprocher de l’Agence de l’Eau Rhin Meuse qui peut accompagner, conseiller et financer certaines interventions et études.

Stationnement en terre-pierre. L’avantage de ce sol est multiple ; perméable, une seule structure posée (un mélange de terre et de pierre, compacté à la pose par couches successives) ; se recouvre d’herbe avec le temps, en fonction des passages et de la fréquentation. Cf. Le stationnement de la Rue du Presbytère à Jussy, pour une référence locale !
Stationnement en terre-pierre. L’avantage de ce sol est multiple ; perméable, une seule structure posée (un mélange de terre et de pierre, compacté à la pose par couches successives) ; se recouvre d’herbe avec le temps, en fonction des passages et de la fréquentation. Cf. Le stationnement de la Rue du Presbytère à Jussy, pour une référence locale !

2 / FAIRE PLACE À LA NATURE EN VILLE

Chantier de Plantation du parc des lapins, Banc-Saint-Martin (crédit : Omnibus)
Réaménagement expérimental de la place Viarme (Nantes), Agence Monono Étude collaborative pour la transformation et la réalisation d’aménagement expérimentaux sur une place Nantaise nécessitant un coup de neuf. Co-construction du projet avec les habitants, commerçants élus et techniciens sur plusieurs mois, aux différentes étapes du projet. Définition d’une série d’aménagements répondant aux attentes et envies en termes d’usages de la place. Accompagnement des services techniques dans la réalisation de l’aménagement retenu, avec une dimension également participative ouverte au grand public. Plus d’info : https://dialoguecitoyen.metropole.nantes.fr/project/place-viarme-pour-tous/ presentation/presentation-145